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Microeconomie


Enviado por   •  26 de Septiembre de 2018  •  Resúmenes  •  1.318 Palabras (6 Páginas)  •  64 Visitas

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Microéconomie ch.1

Résumé à partir du slide 41 (micro1)

Pourquoi fait-on des échanges ?

On en fait seulement car c’est profitable et que le coût d’opportunité est trop important pour ne pas le faire.

En Suisse, le % de bien et service par rapport au PIB est de plus de 120 % (marché très ouvert). Elle exporte surtout du chocolat, fromage et du café. Ses principaux partenaires sont européens. Principales exportation : Etats-Unis et l’Allemagne.

Économie planifiée : communisme

Marché pur : sans intervention de l’Etat : mythe

Économie mixte : situation dans de nombreux pays

Barrière à l'entrée

En économie, on désigne par barrière à l'entrée les obstacles que doit surmonter une entreprise désirant se lancer sur un nouveau marché. Les barrières à l'entrée sont établies par les acteurs déjà en place sur le secteur en question ou par la réglementation. Un acteur établi du secteur a intérêt à ce que les barrières à l'entrée soient le plus élevées possible, c'est-à-dire à ce qu'un concurrent ait du mal à configurer son organisation et à accéder à des ressources spécifiques ou aux canaux de distribution nécessaires. En revanche, l'intérêt pour le consommateur est plutôt que les barrières à l'entrée soient basses afin de favoriser les nouveaux entrants et de stimuler la concurrence.

Concurrence parfaite :

Homogénéité des biens (identiques) par exemple, le marché immobilier ne l’est jamais.

Atomicité : Enorme nombre d’acheteur et de vendeurs. Si j’achète 50 voitures cela n’aura aucune influence sur le marché.

Libre-entrée : pas de barrière à la libre-entrée ni à la sortie du marché (pas besoin d’autorisation pour partir : écrire à l’Etat pour leur permission).

Transparence : les agents ou clients sont parfaitement informé (pas de malhonneté sur la qualité des produits genre Galbani)

Absence d’externalité : les agents supportent entièrement les coûts associé avec leur achat. Ex : chaussures on paie tous les coûts alors que pour les cigarettes on ne paie pas l’impact sur de la fumée passives pour l’entourage.

Même prix pour tous

En résumé : « Tout coûte mais tout ne se paie pas ».

Concurrence et concurrence parfaite

Dans le langage courant la concurrence parfaite est l’opposé de celle vue par les économistes. Si ces critères sont respectés alors les vendeurs n’ont que très peu d’influence sur le prix. (slide 50). On n’a pas intérêt à vendre plus cher et non plus à casser les prix (baisse du profit). C’est le cas uniquement dans une concurrence parfaite d’où au ressource limitées par rapport à l’ensemble du marché qui est immense.

Les marchés de concurrence parfait sont rare, c’est un idéal économique (benchmark).

L’économie en tant que science sociale :

Méthode scientifique : développement et vérification de théories sur le fonctionnement du monde. Une proposition scientifique quand elle est réfutable lors qu’elle est confrontée au faits.

C’est pour ça que les économistes formulent des theories afin de comprendre comment fonctionne le monde. 3 étapes :

-Observation et mesure

-Construction de modèles

-Confrontation des modèles à la réalité (donnés empiriques) Mais y a des influences incontrôlables (PESTEL)

Données empiriques : Informations obtenues au moyens des sens (observation et expérimentation), ex graphique21

Approche positive : Basé sur des faits, on peut la réfuter avec d’autres données.

Approche normative : Recommandation basé sur un jugement de valeur personnel.        

Chapitre 2 p.47

La demande        

De quoi dépend la demande de lapins en choc ? (Slide 11)

Le revenu et la conjoncture ont peu d’influence sur la demande contrairement à la météo. Le prix ainsi que la qualité du produit sont des facteurs.

La pente de la demande est généralement négative. (x=quantité (ordonnée / y =prix (abscisse).

On peut tenter de calculer une demande avec équation qui prend en compte plusieurs variable (slide 12). 212 est une constante.

LE coût d’opportunité d’un bien augmente au fur et à mesure que la consommation du bien augmente.

Surplus consommateur : [pic 1]

Une variation du prix : mouvement le long de la courbe

Modification autre que le prix engendre un déplacement de la courbe. Exemple d’un cout de production déplace la courbe (éléments externe ex : revenu)

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