Justine Ou Les Malherus De La Vertu

« Justine ou les malheurs de la vertu »,

Nous allons parler du texte « Justine ou les malheurs de la vertu », écrit par le marquis de Sade, publie dans l’année 1791, trois ans après la prise de la bastille et la révolution française. Le marquis de Sade fut libéré dans la prise de la bastille car il était enfermé par des crimes sexuels, puis renferme à nouveau quelques années plus tard par le contenu pornographique de ses libres.

L’extrait nous met en place quand deux sœurs sont expulsées du couvent dû a des raisons d’argent et quand elles doivent prendre une très importante décision que déterminera leur vie, on à une opposition d’opinion entre les deux sœurs, une qui veut vivre seule, l’autre qui veut se marier.

« Un Libertin Cynique »,

Le texte à étudier, « Un Libertin Cynique », est un extrait du roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses, écrit en 1782 par Pierre Chaderlos de Laclos (1741-1803), un ex-militaire qui dans ce roman, dénonce le libertinage en critiquant la noblesse de l’époque, l’oisive et amorale.

L’extrait correspond à la quatrième lettre du roman, où le vicomte de Valmont répond à la lettre envoyée par la Marquise de Meurteuil. Il s’excuse de ne pas suivre ses ordres de corrompre Cécile de Volanges mais expose son projet de séduire Mme la présidente de Tourvel. Nous nous demandons pourquoi le vicomte de Valmont refuse les ordres de Mme de Merteuil et suit son propre projet.

« LETTRE 83 » LE VICOMTE DE VALMONT À LA PRÉSIDENTE DE TOURVEL »

Cet extrait correspond à une des 175 lettres du roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos, publié en 1782, pendant le siècle des lumières. À cette époque, ce genre de romans était dans son apogée et cette œuvre connu un grand succès.

Pierre Choderlos de Laclos était un militaire issu de la noblesse de robe qui défend le droit des filles à recevoir la même éducation que les hommes. Ennuyé et frustré de sa vie comme militaire, il écrit son chef-d’œuvre, Les Liaisons Dangereuses, pour critiquer quelques aspects de la société comme la libéralisation des mœurs, c´est-à-dire, le libertinage.

Dans ce roman, deux nobles libertins, Le Vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil, trompent le reste des personnages pour se venger, s’amuser et paraitre supérieurs, ce qui termine tragiquement pour tous. Le Vicomte de Valmont veut séduire la Présidente de Tourvel, une femme mariée, profondément religieuse, qui est un exemple de virtuosité et de fidélité.

La lettre 83 est écrite en prose et est composée de 101 lignes regroupées en 8 paragraphes, où Valmont évoque des forts sentiments envers Tourvel et essaie de la convaincre de l´aimer.

LES REALITÉS DE L’AMOUR

Paul

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