Montesquieu

Compte Rendu

Diego Pacheco

Dans l’article informatif “Portrait d’une génération en colère, Laurent Joffrin, journaliste français qui a collaboré aux journaux Libération et Le Nouvel Observateur, dont il est directeur de la rédaction depuis 2011, démontre son préoccupation par des aspects sociales en comparant les événements qui ont caractérisé le printemps 68 avec l’en d’hiver 94 et dans lequel il exprime son souci par le progressive dénigrement de la société actuelle d’une manière polémique en train de prouver que nous sommes à la veille de quelque chose de pire.

Joffrin donne beaucoup faits sur ce qui s’est passé dans la révolte de l’espoir en Mai 68 comme la croyance á la politique et dans l’action collective et dont la drogue était une chose plus «poétique», contrairement á ce qu’on pouvait trouver dans Mars 94 avec l’absence corrosive de l’espoir, le rejet de la politique, la violence comme un jeu, l’augmentation du chômage, l’excessive nombre de victimes par des manifestations, la désintégration des jeunes dans la société et dans la quelle la musique suggère un soulèvement d’armes.

Tout autant, l’auteur veut proposer plusieurs possibles causes pour cette réaction sociale. Entre elles, La négligence des dirigeants pour donner aux dirigés plus d'argent, plus de respect et plus de droits, l’influence médiatiques américaine dans le processus de «violentisation», l’absence d’abnégation des écoles qui se désintègrent.

Finalement, il se demande : Dans ces conditions, ¿quelle raison a-t-on de refuser la délinquance?

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