De l’interprétation de la nature

DIDEROT, Denis : «De l’interprétation de la nature»

Denis Diderot a été un des penseurs le plus importants de l’histoire française. Il a été le premier intellectuel à penser de réunir tous les connaissances du monde dans une ouvre holiste et universelle. Ses pensées sur la nature ont été une très importante influence sur les sciences empiriques et aussi sur le rationalisme de l’époque. Sa pensée était matérialiste, un fait qu’on peut observer dans ses écrits en « De l’interprétation de la nature » de 1753.

Dans ce fragment du texte, Diderot parle de l’existence des phénomènes lesquels on ne peut pas comprendre totalement ses causes parce que la nature les dérobe. C’est un problème philosophe très important parce que ces phénomènes semblent renverser un système ou une hypothèse dans une première vue mais si on les connait mieux on verra que ce que ces phénomènes font est le confirmer totalement. Ici on voit la distinction entre théorie et praxis : On peut avoir une très bonne théorie générale sur quelques phénomènes mais malgré tout il peut y avoir quelques phénomènes qui ne peuvent pas être expliqué en rapport à la théorie. Aristote disait que la philosophie première était responsable de l’étude des causes qui provoquent les phénomènes donc il faut étudier les causes pour comprendre les phénomènes. C’est pour ça, que la théorie doit avoir un grand fondement basé dans l’observation empirique sans laquelle c’est impossible de réaliser une théorie satisfaisante. On verra, comme Diderot dit, que si les causes conspirent, les phénomènes s’intègrent en grande mesure dans la théorie. De l’autre côté, si les causes sont opposées, l’intégration des phénomènes dans la théorie sera très faible.

Quand on trouve des difficultés avec l’explication des phénomènes, il faut les réduire à des phénomènes plus simples ou essayer de manifester la complication des causes pour être consciences de leur concours ou leur opposition et ce qui se produit dans chaque cas. Le premier cas est la méthode d’Ockham : Si une théorie peut expliquer un phénomène de la même façon qu’une autre mais avec moins de principes et avec plus de simplicité, elle sera mieux que la seconde (Rasoir d’Ockham). L’autre méthode consiste à essayer expliquer d’une façon holistique les phénomènes mais en Virtue d’une nouvelle expérience laquelle les éclaire. Diderot défend la premier méthode dû à sa pensée matérialiste, il postule que tout peut être expliqué par rapport aux causes les plus simples parce que la réalité est formé par la matière donc elle est totalement objective.

Quand les philosophes se rencontrent avec ce type d’obstacles, ils se partagent : Les uns essayent continuer avec le système actuel en cherchant une autre façon de voir le phénomène mais c’est impossible

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