Análisis argumentativo.
Angélica IcazaDocumentos de Investigación16 de Febrero de 2017
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1916 - F. Saussure
1950
1966 - William Labov (naissance de la sociolinguistique; Stratification social de l’anglais)
1987 - Grammaire cognitive
Sociolinguistique ––> fonctionnel - géographique
LANGUE:
L’ensemble des unités du langage parlé ou écrit propre à une communauté. C’est un système de signes vocaux ou graphiques propres à une communauté d’individus qui l’utilisent pour s’exprimer et communiquer entre eux. Cette définition s’applique à n’importe quelle langue dans le monde.
Elle peut s’associer à l’idée de nation, dont cette langue est le parler officiel. Mais les évolutions politiques amènent des décalages entre l’aire d’emploi d’une langue et les frontières de l’Etat qui lui a donné son nom. Par exemple, la France a donné son nom au Français mais la Francophonie est bien plus étendue. Cela a été entraîné par des décalages dus à la colonisation notamment. Même cas pas exemple pour le Portugais, ou encore pour le cas flagrant de l’Anglais.
La langue est un facteur d’unité dans une société, mais aussi de diversité car chacune parle sa langue nationale, maternelle, à sa façon (accents, argots, néologismes, etc.). « Une langue est un instrument de communication original et plein de contradictions, à la fois divers puisque chacun le fait fonctionner selon ses besoins et nécessairement unique pour que chacun puisse comprendre l’autre » (H. Walter).
Un système établi, la langue a une autonomie historique, social, politique, et économique.
DIALECTE:
⁃ La façon commun de parler d’un groupe social.
⁃ Une variante d’une langue
⁃ On trouve des différences au niveau syntaxe, lexique, phonétique.
C’est un ensemble de parlers qui rapprochent un certain nombre de traits linguistiques et dont le regroupement donne l’impression de parlers distincts par rapport aux parler voisins. Par exemple dans l’occitan on retrouve six familles dialectales, ou encore dans la langue d’Oïl une vingtaine de dialectes, etc.
C’est en quelque sorte la variété régionale d’une langue, un sous-ensemble d’une langue.
Il se différencie de la langue dont il n’a pas le statut culturel et social,e t du patois, car il correspond à un groupement de parlers locaux, et sa désignation ne comporte pas de nuance péjorative.
On entend parfois aussi le mot dialecte au sens de patois d’une grande ville.
ACCENT:
C’est un ensemble de parlers qui rapprochent un certain nombre de traits linguistiques et dont le regroupement donne l’impression de parlers distincts par rapport aux parler voisins. Par exemple dans l’occitan on retrouve six familles dialectales, ou encore dans la langue d’Oïl une vingtaine de dialectes, etc.
C’est en quelque sorte la variété régionale d’une langue, un sous-ensemble d’une langue.
Il se différencie de la langue dont il n’a pas le statut culturel et social,e t du patois, car il correspond à un groupement de parlers locaux, et sa désignation ne comporte pas de nuance péjorative.
On entend parfois aussi le mot dialecte au sens de patois d’une grande ville.
Trait marqué qui donne son caractère propre, son originalité à quelque chose (sans adjectif ni complément).
L’apparition des unités de sens chez un auditeur dépend d’un certain nombre de paramètres. Les unités de sens se manifestent matériellement sous la forme d’un certain nombre de mots; la longueur de la chaîne dépendant de la capacité de mémoire immédiate et ne dépassant jamais six ou sept mots, environ trois secondes.
Leur longueur et composition varient en fonction de la partie implicite contenue dans le cerveau de l’interlocuteur.
Mémoire immédiate:
⁃ Elle maintient six ou sept mots simultanément chez l’auditeur
⁃ La perception de sons par l’identification de mots
⁃ L’unité de sens devient l’idée
⁃ Elle retient l’ensemble de mots suivants
⁃ Présence mnésique: la rétention par la mémoire immédiate des quelques signes linguistiques; Elle sert à comprendre les rapports entre la langue et le discours.
Sémantique:
étude du sens/ signification
sens ≠ signification
énoncé ≠ phrase
pragmatique: en contexte
sémantique: hors contexte
Contexte va nous aider à comprendre la situation d’énonciation extralinguistique.
⁃ Linguistique: Les énoncés qui précèdent le moment de l’énonciation
⁃ Les connaissances encyclopédiques
AUSTIN:
Énoncés constatés = descriptifs
Énoncés performatifs = pour faire qqch ou agir sur le monde
Actes de langage
⁃ Locutionnaire (locution)
⁃ Illocutionnaire (illocutoire)
⁃ Perlocutionnaire (perlocutoir)
GRICE:
Comment l’auditeur comprend l’intention de communication du locuteur—— principe de coopération
Traduction
Langue ≠ discours
On NE considère pas: On considère:
⁃ La situation -La situation
⁃ Le contexte verbal - Le contexte verbal
⁃ Le contexte cognitif - Le contexte cognitif
Le contexte Processus
Uno se levanta y se acuesta siendo traductor, no podemos desconectarnos de esto
SOCIOLINGUISTIQUE:
Variation:
La variation est une question fondamentale pour la sociolinguistique car il s'agit véritablement de tirer les conséquences du constat fait par tout linguiste, même débutant : on ne parle pas de la même façon dans toutes les circonstances de sa vie. Une même personne, au cours d'une journée, change considérablement d'usage, de variété, de langue, et ceci en raison de ses interlocuteurs, de l'objet de son discours, des conditions immédiates de production/réception. Bien sûr, en fonction de son milieu social, de son histoire personnelle, de son implantation géographique, des effets que l'on veut/peut produire, de la maîtrise des registres de langues acquise, du rapport à la langue et à la société, on recourt à des variétés linguistiques très diverses, qui, même si elles sont globalement appelées "français", peuvent comporter des différences considérables aux yeux du linguiste qui les décrit.
On retrouve les questions : QUI parle A QUI, OU, QUAND, COMMENT, POURQUOI ???
Variables:
Il s’agit d’associer chaque variante linguistique à une cause extra-linguistique (classe sociale, sexe, âge, habitat, race, attitudes du locuteurs, circonstances de la communication, etc.), ou chaque ensemble de variantes linguistiques (réalisation d'une variable) à une ou des variables sociales.
⁃ Variables extra-linguistiques (sexe, âge, situation sociale...)
De ce fait, Labov tente de corréler les manières de parler avec des variables sociales, qui peuvent être beaucoup plus fines (et qui sont déterminées précisément par l’analyse), que les grandes catégories sociales traditionnelles (profession, sexe, âge, lieu de résidence, etc.). Labov, devant les données ordinaires de la situation de communication, qui comportent une forte hétérogénéité, et qui sont généralement considérées comme aléatoires, va chercher à établir une systématicité (Gadet, 1992b). En quelque sorte, s’attachant au concept de "variation libre", Labov essaye d’établir les règles de cette variation, d’en montrer les conditionnements ; Labov met à jour des régularités trop systématiques pour être le fait du hasard, et il s’efforce de montrer selon les formules de F. Gadet.
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